Cent ans après la fin de la première guerre mondiale, tenter de dire l’indicible à travers la création d’aujourd’hui : arts plastiques, théâtre, littérature, cinéma, …
Et dans les villes et villages d’Indre et Loire, ensemble, toutes générations confondues, se réapproprier notre mémoire et notre histoire, créer pour vivre, debout, aujourd’hui et se rêver un avenir.
A l’occasion du centenaire de la première guerre mondiale, le groupe K- cie J.M. Cano Lopez, la municipalité de Neuvy le Roi sont heureux de vous informer des manifestations suivantes :
Exposition « La tranchée des gueules cassées » du 27 novembre au 1er décembre, salle du conseil de la mairie. Exposition « le mur blanc de nos mémoires » le 1er décembre, salle du conseil de la Mairie.
Vernissage le 1er décembre 18h.
Spectacle « Lettres entre chien et loup », Samedi 1er décembre à 20h, salle Armand Moisant. 5€/ 8€/ 12€
Spectacle à partir de 10 ans. Réservation indispensable au 02.47.38.29.29
Un aperçu de la vie que pouvait décrire les Poilus dans leurs lettres
C’est sous une pluie battante mais avec le sourire que les habitants de la Commune ont commémoré l’Armistice 1918 en ce jour du 11 Novembre 2018. Deux barnums avaient été prêtés par l’association Les Bénévoles afin de mettre l’ensemble du public à l’abri.
On pouvait également noter la présence de bon nombre d’enfants, de l’EMEDC, de militaires ainsi que des Pompiers et des Jeunes Sapeurs-Pompiers du Racan.
Un barnum très apprécié
Cette année, après le traditionnel discours de M. Poupée, Maire de la Commune, l’annonce de l’identité des combattants « Morts pour la France », le dépôt de gerbes, la présence musicale et harmonieuse de l’EMEDC, ce sont deux nouveaux événements qui sont venus ponctuer cette Commémoration. En effet, les enfants de l’école P. Robert, après des semaines de répétition, nous ont fait le plaisir de chanter la Marseillaise. Une plaque a également été inaugurée, cette plaque porte les 6 noms des Morts pour la France oubliés et mis en lumière par des recherches approfondies des documents municipaux.
M. Poupée a ensuite convié l’ensemble du public à l’Espace Multimédia pour découvrir l’exposition d’objets prêtés par les particuliers.
Cette cérémonie s’est terminée, au son des cloches dans le village et avec le partage du verre de l’amitié.
Un des objets exposés
Vous pouvez encore admirer l’Exposition jusqu’au samedi 17 novembre 2018 à 17 h 00.
Toutes ces actions s’inscrivent dans la volonté de la Municipalité de fêter, cette année, le Centenaire de l’Armistice.
La Municipalité remercie toutes, les personnes qui ont participé à cette commémoration.
Pour plus d’informations, vous pouvez contacter la Mairie au 02 47 29 30 87.
Une belle exposition riche de nombreux documents à voir avant la clôture
Comme dans la plupart des communes de France, à Saint-Christophe-sur-le-Nais, cette commémoration revêtit un caractère particulier. Suite à un gros travail réalisé en amont par des membres de l’association Histoire et Patrimoine , la coopération entre la mairie, l’association précitée et celles de l’association des UNC présidée par Claude Boulesteix, le monument aux morts affichait ce jour-là, 18 noms supplémentaires de soldats nés à Saint-Christophe et morts pour la France durant la Grande Guerre.
Après le défilé au monument aux morts, tous les participants ont apprécié la chaleur de l’espace socioculturel où se tenait une exposition réalisée en partie par les élèves des cours de CM1-CM2 et l’association Histoire et Patrimoine qui avait ressorti la carte de France situant les lieux de combat que connurent les soldats christophoriens au cours de ces années noires.
Le moment des discours à l'espace socioculturel
Madame le Maire, ceinte de son écharpe tricolore, remercia pour leur participation, les musiciens, les pompiers, les enfants et leurs enseignantes, les élus et toute la population présente dans la salle. Durant son discours, elle fit part « du beau travail réalisé en commun pour cette commémoration et de l’aboutissement de ce magnifique projet. » Ensuite, ce fut Claude Boulesteix qui prit la parole pour, à son tour, se féliciter de ce travail de mémoire qui permet désormais « de citer à leur tour ces soldats valeureux, trop longtemps oubliés, et de les associer aux 27 figurant déjà sur le monument aux morts. » Maéva Pirmé, directrice de l’école et enseignante en CM1-CM2, expliqua le travail réalisé par ses élèves depuis la rentrée de septembre, sur le thème de l’aviation pendant cette guerre. « Les avions réalisés par les élèves sont le résultat de tout un travail mené en classe. Je remercie Madame le Maire de nous avoir autorisés à exposer notre travail pour cette occasion, et Monsieur Larus pour la présentation du travail réalisé par les membres de son association sur la Grande Guerre. » Puis, pour terminer les discours, ce fut Philippe Larus qui enchaîna en rappelant tout le travail effectué en amont par l'association pour en arriver à ce résultat, 100 ans après la signature de l'armistice. Il mentionna "la bienveillance rencontrée au niveau des élus et des anciens combattants pour mener à bien ce projet et qui valorise ainsi le travail de l'association qu'il préside."
Un aperçu de l'exposition
Le moment des discours achevés, chacun fut invité à partager le verre de l'amitié et à regarder de près l'exposition où Maéva Pirmé était prête à expliquer le travail des enfants.
Une assistance nombreuse pour cette commémoration
Quelques renseignements concernant le monument aux morts
Le choix du projet de monument aux morts de M. Bruno, sculpteur, fut retenu par le conseil municipal le 20 novembre 1921. Sur ce monument furent gravés 27 noms, dont un avec une faute d'orthographe (il manquait le D final). Le conseil municipal vota alors une somme de 9 500 F pour l'érection de ce monument qui s'ajouta aux 3 742 F de la souscription publique et à la subvention de l'état. Le montant attribué à ce monument était donc de 13 342 F qui permirent l'érection et l'inauguration du monument.
Pour la gravure des 18 noms complémentaires, une somme de 1 500 € était demandée par l'entreprise contactée par l'intermédiaire de Logistic Marbrerie 72. Plusieurs projets ont été proposés à la commune et, quelque temps avant le mois de novembre, deux graveurs sont venus travailler sur une journée. Tout avait été préparé auparavant en atelier, les relevés métriques ayant été réalisés sur place. Pour cet ajout de 18 noms et la correction de celui mal orthographié, une subvention de 400 € a été accordée à la commune. Ce fut également l'occasion de repeindre tous les noms pour que ce centenaire soit dignement fêté et que les 45 enfants de Saint-Christophe morts pour la France soient ainsi mis à l'honneur.
Les 45 noms des poilus visibles sur le monument aux morts
Après plus de quatre années de combats, la France est devenue, le 11 Novembre 1918, le théâtre d’une explosion de joie !
Dans chaque village, chaque ville, les cloches retentissent, les drapeaux sont brandis haut dans les rues…. L’Armistice vient d’être signé !
Depuis, chaque année, nous célébrons le 11 Novembre pour rendre hommage aux combattants morts pour la France.
Cette année, pour fêter le Centenaire de l’Armistice, la Commune de Saint-Paterne-Racan a pris la décision de proposer des manifestations durant tout le mois de novembre.
Samedi 03 Novembre : Une Conférence sera animée par M. Eric LABAYLE sur « l’Année 1918 »
20h30 – Espace Multimédia – Entrée Libre
Mercredi 07 Novembre : Projection du film « Cheval de Guerre »
20h30 – Salle des Fêtes – Entrée Libre
Cérémonie du 11 Novembre
Rassemblement à 10h15 devant le Monument aux Morts et inauguration d’une plaque
Harmonie Municipale
Présence des Anciens Combattants, des Pompiers et de Militaires
Chant « La Marseillaise » par les enfants des écoles
Inauguration de l’exposition, à l’Espace Multimédia, d’objets et de documents prêtés par les habitants
Cette exposition sera visible du 11 au 17 Novembre à l’Espace Multimédia
Vous pourrez également découvrir, durant tout le mois de Novembre, deux expositions :
L’Exposition « La première Guerre Mondiale en Touraine », prêtée par les Archives Départementales, sera présentée à l’Espace Multimédia.
Pour la 6e année, les artistes de Neuvy-le-Roi ouvrent leurs ateliers au public du jeudi 4 au dimanche 7 octobre 2018 de 14h à 20h.
1) LA GRANGE-ATELIER : 2d, rue Saint-André (juste à côté de la Chapelle St-André) – Jean-Michel Jouhanneau : Dessins, illustrations – Benoît Déchelle : Peintures – Dinhut : Illustrations, cadres débordants
2) L’ATELIER DE MICHELE T. PERBET : 1, rue de l’Hôtel de Ville – 1er étage (en face de la mairie) – Michèle T. Perbet : Plasticienne, auteure
3) L’ATELIER DE MARTIAL GADIN Atelier-studio au 24, Grande rue – Martial Gadin : Plasticien-sculpteur, facteur de guitares – Christophe Sanglier : Aquarelliste (présent vendredi et dimanche)
Manifestation “Atelier, Mode d’emploi” coordonnée par l’association Mode d’emploi sur le département d’Indre-et-Loire.
Prochaines expositions de Benoît Déchelle :
7e Biennale Art’Thilouze (37) du 15 au 18 novembre. Une douzaine d’artistes exposent à la salle des Tilleuls sous le parrainage de Nicole Avezard.
21e salon du Petit Format à Truyes (37) du 17 novembre au 2 décembre . une sélection d’une cinquantaine d’artistes présentant des œuvres de petit format.
Vendredi soir, la chapelle Saint-André de Neuvy-le-Roi s’est avéré tout juste assez grande pour accueillir les nombreuses personnes venues rendre hommage à l’artiste Sylvie Vannier, disparue il y a 2 ans. Ses filles, Marie-Léonor et Anne-Aelia, aidées de Christian, le compagnon de Sylvie, avaient regroupé de nombreuses œuvres de l’artiste. Ces différentes œuvres, exposées dans la chapelle, permettaient et, c’était le but recherché par les organisateurs, de faire vivre le travail réalisé par Sylvie.
Christian et les filles de Sylvie
Les différentes techniques qu’elle utilisait, les collages ou les aquarelles, se côtoyaient pour une exposition qui retraçait le parcours de l’artiste. Comme le souligne Christian, « ces deux techniques étaient utilisées d’une manière très personnelle, non conventionnelle, tant au plan purement technique qu’esthétique. Dans ses collages, l’artiste apporte la preuve éclatante de l’affirmation au fil des années d’un esprit libre où se conjuguent humour, jubilation, sensualité et plaisir du jeu dans l’agencement minutieux des motifs. Toutefois, une gravité se devine dans certaines toiles par des fonds marouflés dans des tons de vieux cuirs. Pour ses aquarelles, elle laisse une part de hasard à l’action de l’eau sur les pigments, ce qui fait la part belle à l’expression de la couleur originelle du pigment.»
Une belle exposition retraçant le talent de l'artiste
Sylvie a passé son enfance dans les Deux-Sèvres. À 16 ans, elle intègre l’école des arts décoratifs de Limoges. Deux ans plus tard, suite au déménagement de ses parents, elle entre à l’école des Beaux-Arts de Tours. C’est là qu’elle fera la connaissance de celui qui deviendra son mari, Dominique Savignard, peintre lui-même, et présent à cette soirée. Il réalisa durant cette période un magnifique portrait de la jeune femme. Ils eurent 3 enfants, deux filles et un garçon. Son mari, à l’amorce de sa carrière d’artiste, fit sentir son désir d’indépendance. Tout en s’occupant de ses enfants, Sylvie s’engagea dans des activités professionnelles. Avec une de ses amies plasticienne, elle créera l’association Fil & Forme. Elles proposeront alors à des compagnies de spectacles vivants et à des organisateurs de manifestations événementielles, des prestations allant de la réalisation d’accessoires à la décoration en passant par la création et réalisation de costumes.
Le portrait de Sylvie peint par Dominique Savignard
Se plaisant en Touraine, elle s’établit dans le Pays de Racan, très exactement à Saint-Christophe-sur-le-Nais.
Très bonne pédagogue, elle proposa aux personnes désirant apprendre à « croquer » des paysages sur le vif,
des rando-croquis dans la campagne environnante. Elle organisa des stages et des croquis d’hiver en salle. Ces activités l’ont amenée à développer des partenariats avec des associations locales à vocation culturelle : Histoire et Patrimoine de Saint-Christophe, le moulin Pousset de Vouvray-sur-Loir.
En parallèle à ces activités, Sylvie avait développé sous son nom d’artiste, Sylvie Vannier (nom de sa grand-mère maternelle), ses propres projets de création dans le domaine du collage et de l’aquarelle dont on pouvait avoir un bel aperçu lors de cette exposition. Reconnue en tant qu’artiste, ses œuvres ont été exposées dans de nombreux lieux institutionnels : l’Artothèque de Tours, la biennale de Savonnière, le siège de la Caisse d’Épargne d’Orléans, le château de la Possonnière,…
Artiste aux talents divers, elle s’était prise de passion pour le Kamishibaï, théâtre d’images japonais qu’elle présentait en tant que conteuse dans sa maison christophorienne et jusque sur son lit d’hôpital. Elle participait aussi à des lectures publiques dans le cadre du festival « Femmes en campagne ».
Lorsque l’aînée de ses filles prit la parole, ce fut pour tout d’abord remercier toutes les personnes qui avaient fait le déplacement. « De vous voir tous réunis là en souvenir de maman me fait chaud au cœur. C’est la première fois que ses aquarelles et ses collages sont réunis dans la même exposition. Personnellement, je trouve ses ouvrages très complémentaires. » Christian ajouta : « Ses deux filles ont été exemplaires dans cette exposition qui retrace bien les différentes facettes de Sylvie. »
Patrick Cintrat, maire de Neuvy-le-Roi, s’exprima en quelques mots : « On sent une présence forte de l’artiste par cette exposition où l’on peut apprécier son talent. Merci d’avoir choisi ce lieu et Neuvy-le-Roi pour cette exposition. »
Les nombreux amis de Sylvie étaient présents pour ce vernissage
De très nombreux applaudissements ponctuaient chaque prise de parole et une émotion perceptible était présente dans la chapelle. Ce grand moment d’hommage fut suivi par le partage du verre de l’amitié et de petits groupes se formèrent pour continuer à évoquer et à se remémorer les merveilleux moments passés avec Sylvie.
L’exposition sera encore visible les 6 et 7 octobre, à la chapelle Saint-André de Neuvy-le-Roi, de 14 h 30 à 18 h. Entrée gratuite
Dimanche, en fin d’après-midi, les 45 peintres, sculpteurs, dessinateurs ayant déposé leurs œuvres, la semaine précédente, pour l’annuel salon qui se tient depuis 2003 dans l’église Saint Pierre attenante à la collégiale de Bueil, à l’occasion de la semaine du patrimoine, étaient pour la plupart présents dans l’attente de la remise des différents prix couronnant cette exposition de très grande qualité.
Quelques-unes des oeuvres exposées
En attendant l’heure, nombreux étaient encore les visiteurs à déambuler parmi les 150 œuvres exposées. Christian Bourdin, membre de l’association « Les Amis de la Collégiale », organisateur du salon et peintre lui-même, répondit de bonne grâce aux questions posées.
D’où viennent les artistes qui exposent à Bueil ?
Beaucoup de la Sarthe et de l’Indre-et-Loire et quelques-uns du Maine-et-Loire.
Comment les recrutez-vous ?
Dans les salons où j’expose, lorsque je vois des œuvres qui me semblent intéressantes, je propose aux artistes de venir exposer à Bueil.
Y en a-t-il qui reviennent plusieurs fois ?
Oui bien sûr car ils sont contents de l’accueil qu’on leur réserve, du cadre magnifique dans lequel ils mettent leurs œuvres en valeur. Il faut dire aussi que c’est assez rare d’avoir un site où l’on peut exposer des grandes œuvres comme c’est le cas ici.
Pour tous les prix que vous distribuez, vous avez des aides ?
La commune nous soutient ainsi que quelques sponsors. D’ailleurs, certains seront présents ce soir pour remettre eux-mêmes les prix qu’ils ont offerts.
Autres oeuvres, autres formats
L’heure approchant, le président de l’association demanda aux personnes présentes de se rassembler pour la remise des prix. Auparavant, il adressa les chaleureuses félicitations du public pour la qualité de ce 16e salon et répercuta la sensation d’enthousiasme général qui émanait de cette nouvelle édition. Il précisa que sur l’ensemble de la semaine du patrimoine, ce sont 550 visiteurs qui sont passés pour visiter la collégiale et/ou admirer les œuvres exposées.
Le président, Didier Descloux avec à ses côtés Christian Bourdin
Il passa ensuite le micro à Christian Bourdin qui appela les lauréats pour leur remettre les différents prix attribués.
Quelques lauréats lors de la remise des prix
Liste des lauréats 2018
Prix de la commune : Fourmy Anthony
Prix du Crédit Agricole : LUCAS Francis
Prix du magasin Couleurs : LASPOUJAS Christian
Prix Lefranc Bourgeois : GUITTON Pierre
Prix techniques diverses : BLANCHET Patrice
1er prix techniques mixtes : HIERET Agathe
2e prix techniques diverses : BOUHIER Hélène
1er prix de sculpture : ARNAUD Jacques
2e prix de sculpture : BARITEAU Christiane
Prix du public : HESLOIN Régis
L'ensemble des lauréats 2018
Avant de clore cette belle semaine, Didier Descloux rappela que l’association, créée en 1998, fêtait donc ses 20 ans cette année avec la plupart des membres encore présents dans le conseil d’administration.
Les membres du CA de l'association présents sur le site
Un petit grignotage sous la halle réunit tous les participants heureux de la belle réussite de cette semaine consacrée au patrimoine.
:
L'actualité communale de St Christophe et des communes environnantes. La vie des associations par leurs manifestations.
Et la description de mes coups de cœur.
Retraitée de l'Éducation Nationale, restée très active, aime parler et faire parler de ma commune de résidence et faire partager mes diverses découvertes.
Présentation du village
Bienvenue à Saint-Christophe-sur-le-Nais
L'histoire de St Christophe commence aux environs de l'an mil. A cette époque, les seigneurs d'Alluye y établissent une forteresse (motte féodale) visible dans l'enceinte du cimetière. Au XIe ou
XIIe siècle, un donjon en pierres est alors construit et ses ruines témoignent de l'histoire du village.
Ce dépliant, disponible en mairie, permet de visiter la cité et de
découvrir le riche passé de notre commune. Ci-dessous, le coeur du village, la place Jehan d'Alluye.
Si vous souhaitez me contacter, voir sur la colonne de droite, le point
contact qui nous permettra de communiquer.